Albator 78 (Albator le Corsaire de l’Espace)

21 chroniques dans cette collection.

Albator 78 (Albator le Corsaire de l'Espace)

Cette série est inspirée du manga Capitaine Albator de Leiji Matsumoto. Elle est apparue pour la première fois en France le 7 janvier 1980 sur Antenne 2 dans l’émission Récré A2. Nommée à l’époque Albator le Corsaire de l’Espace elle fut rebaptisée Albator 78 lors de sa sortie en DVD pour la différencier de la seconde série Albator 84. Les chiffres 78 et 84 font référence à l’année de diffusion.

C’est  TV Asahi qui diffusa pour la première fois cette série au Japon entre le 14 mars 1978 et le 13 février 1979 sous le titre de Uchûkaizoku Captain Harlock (宇宙海賊キャプテンハーロック).

Cette série produite par la Toei se compose théoriquement de 42 épisodes de 24 minutes, mais pour une raison inconnue les trois derniers épisodes n’ont pas été doublés ni diffusés à l’époque. Il a fallut attendre que AK Vidéo sorte l’intégral de la série en VHS 20 ans après pour qu’on ait enfin l’occasion de découvrir la fin de cette série.

Albator 78 (Albator le Corsaire de l'Espace)Albator et Nausica (Albator le Corsaire de l'Espace)

Malheureusement, le nouveau doublage n’est pas parfait car même si de gros efforts ont été réalisés pour retrouver les doubleurs d’origine, certains étaient morts, d’autres ont eu leur voix changée par le temps. Les musiques de fonds aussi ont été changées. A l’époque, elles avaient été recomposées par Didier Barbelivien et Eric Charden pour la VF, mais 20 ans après elles n’ont visiblement pas pu être réutilisées pour les deux derniers épisodes (probablement pour une raison de droits).

L’Histoire

L’histoire commence en 2977 (2980 dans la VF), à cette époque la terre nage dans l’opulence et l’assistanat. Cette période faste s’explique par l’exploitation des ressources d’autres planètes. Toute la production est redistribuée gratuitement à la population. Cette facilité de vie poussée à l’extrême rend l’homme paresseux et lâche. N’ayant plus besoin de fournir le moindre effort pour sa survie, son comportement se rapproche de celui du bétail. La Télévision n’arrange guère les choses, elle sert à monopoliser l’attention des esprits pour mieux les empêcher de réfléchir. Elle permet aussi véhiculer la pensée des gouvernants, étouffant le peu d’esprit critique qui reste encore à cette population décadente.

Lorsqu’une mystérieuse sphère noire vient s’écraser sur terre en détruisant une partie de la capitale, les politiciens qui n’ont rien fait pour avertir la population, préfèrent l’ignorer. Les idéogrammes inscrits dessus trahissent pourtant son origine extraterrestre. Le gouvernement préfère accuser publiquement Albator (Harlock) le rendant responsable de cette attaque.

Il faut dire que c’est un bouc émissaire idéal, car il est déjà défavorablement connu pour avoir attaqué de nombreux cargos terriens. Albator est effectivement un hors-la-loi, écoeuré par l’abrutissement généralisé dans lequel a plongé les habitants de la terre, il a préféré fuir dans l’espace à bord de l’Altlantis. Avec ce vaisseau spatial, il attaque les cargos pour récupérer des semences en prévision du jour où les terriens se réveilleront et se décideront à cultiver eux-mêmes le sol de leur planète pour vivre.

L'Atlantis dans Albator 78 (Albator le Corsaire de l'Espace)

Si Albator se préoccupe encore du sort de sa planète natale, c’est parce que Stellie, sa filleule, habite sur Terre. Stellie n’existe pas dans le manga c’est le réalisateur Rintarô qui a insisté pour créer ce personnage. Stellie est la fille d’Emeraldas et de Toshirô, deux amis proches d’Albator. A leur mort, il leurs a promis que Stellie serait élevée sur Terre et c’est pour cette raison qu’il veille aussi bien sur Stellie que sur la planète qui l’accueille.

Stellie est la fille de Toshiro Emaraldas Toshiro, Emeraldas et leur fille Stellie

Albator veut comprendre d’où vient cette sphère noire et quelle est son utilité. Il découvrira que cet objet est en réalité une balise qui sert à guider les Sylvidres vers la terre qu’elles ont l’intention de coloniser. Ces extraterrestres ressemblent à des femmes humaines en apparence, à la différence que leur organisme est végétal et non animal comme le notre, leurs éclaireurs peuvent donc se fondre dans la population terrienne sans se faire repérer. La tâche d’Albator est donc très délicate car il doit arrêter à la fois des assaillants venant de l’espace et ceux qui sont déjà sur terre. Sans compter sur le fait qu’il doit en plus lutter contre son propre peuple, en particulier Vilak (Mitsuru Kiruta), le Ministre terrien de la Défense, un des rares terrien qui n’a pas sombré dans la paresse et la corruption.

Vilak (Mitsuru Kiruta) - Albator 78L'armé Terrienne n'arrive pas à arrêter Albator

Critique

Au final, cette série accuse son âge, c’est certain : le graphisme, l’animation et le rythme sont bien moins bon qu’Albator 84, qui est mieux réalisée à tout point de vu. Pourtant ma préférence va nettement pour Albator 78 car le scénario est bien plus subtil que la série suivante. En effet, dans cette série, l’univers est moins manichéen que dans Albator 84.

Attention la suite révèle des moments clés de l’histoire

Les Sylvidres ont autrefois colonisé la Terre (et probablement terraformée) pour en faire une planète d’accueil sur laquelle elles pourront se réfugier lorsque le soleil de leur planète mère s’éteindra. Elles ne sont donc pas fondamentalement mauvaises ou belliqueuses, elles n’ont juste pas le choix, c’est une question de survie, qui peut leur reprocher ?
De plus, comme l’être humain est apparu sur Terre bien après leur venue, finalement, se sont les Terriens qui sont en réalité les envahisseurs. Pour une fois, l’homme n’est pas le gentil de l’histoire, cette inversion de rôle est très audacieuse, mais ce n’est pas la seule saveur de cette série, contrairement à Albator 84 où les Humanoïdes sont tous mauvais (ils sont tous éradiqués à la fin), dans Albator 78, le peuple des Sylvidres est plus nuancé.

En effet, il existe des divergences internes entre civils et militaires, des voix qui s’élèvent pour laisser les humains en paix et chercher une autre planète que la Terre. Ces problèmes internes expliquent pourquoi Albator reste en vie malgré la puissance de l’Armada Royale. La Reine Sylvidra veut laisser vivre Albator pour focaliser l’énergie de ses troupes sur un adversaire commun ce qui limite les conflits internes. C’est très subtil de la part d’une série pour enfant et ça crédibilise un peu le fait qu’Albator s’en sorte toujours.

La Reine SylivraLa Reine Sylivra

Un autre attrait de cette série réside dans l’hétérogénéité de l’Armada Royale. On croit au début qu’il s’agit d’une flotte de vaisseaux de guerres, mais on réalise vers la fin qu’il s’agit d’une caravane d’exode, mélangeants vaisseaux civils et militaires. Il n’y a pas que des Sylvidres, d’autres races d’extraterrestres ont rejoint l’Armada dans leur quête d’une planète d’accueil. Quelle que soit leur race (même sylvidres), les civils ont des conditions de vie très difficiles, surtout les enfants. Même pour protéger la Terre de l’invasion, leur éradication pur et simple semble inconcevable pour Albator.

Les Sylvidres

La situation devient donc très intéressante car les limites entre le bien et le mal sont floues. Pour une fois la solution du problème ne se résume pas à l’extermination pure et simple de son ennemi. Les dessins animés de cette époque jouaient tous sur le registre du manichéisme primaire avec les bons d’un côté et les méchants de l’autre. Des histoires en niveau de gris avec un environnement politico-social aussi complexe étaient inexistantes. La profondeur de cette série fait que, même 20 ans après, j’ai eu plaisir en tant qu’adulte à la revoir. Contrairement à d’autres séries de la même époque, ce n’est pas la nostalgie qui fut ma motivation pour la regarder jusqu’au bout. La seule chose un peu difficile à digérer reste la qualité de la réalisation daté qu’il faut savoir dépasser pour se focaliser sur le scénario.

Fiche de l’Atlantis >>

Véhicules de l’Atlantis

L’Atlantis transporte à son bord 5 types de véhicules terrestres et 3 types de véhicules aériens et un véhicule sous-marin.

Véhicules terrestres

Véhicules de forage et chenillette d'exploration

Les véhicules terrestres apparaissent très peu, certains seulement une fois. Il s’agit d’appareils d’exploration, mais aussi d’abordage comme à l’épisode 23 où l’équipage tente de récupérer Alfred (Yattaran en VO).

Véhicule d'assaut (épisode 23)Véhicule d'assaut (épisode 23)
Véhicule blindé d'assaut (épisode 23)Foreuse (épisode 23)

Véhicules aériens

Les Spacewolfs :

Les chasseurs Spacewolfs d'Albator 78 sont les mêmes que ceux d'Albator 84, seule la couleur change

Il y a aussi deux autres types d’appareils : les Cosmowings et les Aviscoupes. On apprend aussi dans la série que l’Atlantis transporte 40 hommes d’équipage.

Model Sheet des chasseurs Cosmowings contenus dans l'Atlantis (Albator 78)Model Sheet des chasseurs Aviscoupes contenus dans l'Atlantis (Albator 78)

Véhicules sous-marin

Dans l’épisode 7, on voit Nausica et Alfred secourir Ramis dans un appareil sous marin. Il s’agit d’une machine qui n’a pas de cockpit  hermétiquement fermé et pour survivre, il est nécessaire d’avoir une combinaison de plongée pour embarquer à bord.

Véhicule sous-marin de l'AltantisVéhicule sous-marin de l'Altantis

Collection

Albator 78 - Episode 1 : Le pavillon noir

Albator 78 – Episode 01 : Le pavillon noir – Résumé

Nous sommes en 2980 (2977 dans la VO), la Terre a été tellement sur exploité qu’elle n’a plus aucune ressource à offrir l’être humain. Maintenant pour survivre, l’homme doit exploiter les ressources d’autres planètes renommées pour l’occasion « Surabonde ».
De nombreux cargos spatiaux parcourent l’espace pour apporter à la Terre ce dont elle a besoin. Mais certains vaisseaux se font attaquer par l’Atlantis, le vaisseau du Capitaine Albator. Ses motivations sont floues, il ne prend que les semences et jette le reste par-dessus bord.

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La sphère noire des sylvidres s'est écrasée sur terre.

Albator 78 – Episode 02 : L’escadrille du néant – Résumé

Une escadrille des Sylvidres s’en prend au vaisseau de ravitaillement terrien provenant de la planète Suradonde 7. Albator décide de se rendre sur les lieux et découvre un vaisseau extraterrestre blindé au Carbodiamant. Après avoir engagé un bref combat, le vaisseau est anéanti sans peine.

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Le père de Ramis a été abattu par une Sylvidre

Albator 78 – Episode 03 : Des torches embrasées – Résumé

La sphère noire des sylvidres d’une largueur de deux kilomètres de diamètre a fini par s’écraser sur Terre, provoquant d’énormes dégâts et de nombreux morts. Pourtant, le gouvernement et la population restent passifs. Seuls le Docteur Valente, son fils Ramis et le professeur Kussuko ont pressenti que cette sphère noire pouvait être le premier signe d’une invasion d’un peuple extraterrestre. Il faut ajouter à cette liste Albator qui a tout tenté pour éviter cette catastrophe (cet épisode est assez proche du Tome 1 du manga original).

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Albator 78 - Episode 04 : Sous la bannière de la liberté

Albator 78 – Episode 04 : Sous la bannière de la liberté – Résumé

Ramis n’est pas convaincu par l’équipage de l’Atlantis, il trouve qu’ils manquent de discipline, quant à Albator, il n’arrive pas à cerner ses motivations profondes. Dépité, il demande à revenir sur Terre. Avant de le laisser partir, Nausica lui donne un émetteur pour qu’il puisse les appeler s'il change d’avis (cet épisode est assez proche du Tome 1 du manga original).

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Albator 78 - Episode 05 : Albator prend une poupée piégée dans la cargaison du spaciocarg

Albator 78 – Episode 05 : Le baptême du néant – Résumé

Ramis vient d’embarquer sur l’Atlantis, mais il cherche encore sa place. Le capitaine Albator lui a conseillé de commencer par s’accoutumer au vaisseau et à son mode de fonctionnement avant de choisir sur quel poste il aimerait être affecté en fonction de ses compétences et des besoins de l’équipage.
 

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L'Atlantis s'échappe du Repère de la Vache Grasse (Albator 78 - Episode 06)

Albator 78 – Episode 06 : Le repère – Résumé

Ramis commence à s’habituer à vivre dans l’espace à bord de l’Atlantis. Albator décide qu’il est temps pour lui de faire son baptême du feu. Il l’invite à faire un tour à bord d’un Aviscoupe, l’un des chasseurs de l’Atlantis. En effet, Albator a repéré un vaisseau Sylvidre avant de partir mais il n’en a rien dit à Ramis pour jauger sa réaction lorsque le vaisseau Sylvidre les attaquera.

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Albator 78 - Episode 07 : Le tombeau englouti

Albator 78 – Episode 07 : Le tombeau englouti – Résumé

Les radars de l’Atlantis affichent une image incohérente de la terre scindée en deux. Ce dérèglement est dû à une importante perturbation venant du Triangle des Bermudes. Albator est décidé à connaître la source de ce phénomène car il soupçonne que l’anomalie magnétique provienne des Syvlidres.

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Albator 78 - Episode 08 : L’Armada Royale

Albator 78 – Episode 08 : L’Armada Royale – Résumé

Nausica a détecté que la sphère noire (épisode 3) et la pyramide des Bermudes (épisode 7) communiquent avec une flottille de vaisseaux situés à des années lumières d’eux.
Après avoir analysé de plus près les destinataires, ils réalisent qu’il s’agit d’une véritable armada. Sentant que le combat contre cette armée risque de leur coûter la vie, Albator décide d’aller sur Terre pour voir Stellie une dernière fois au cas avant d'engager le combat.

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Albator et Ramis sont cernés par les Sylvidres

Albator 78 – Episode 09 : Les humanoïdes végétales – Résumé

Le Docteur Zéro a récupéré le cadavre de la Sylvidre dont Ramis avait abattu le vaisseau (épisode 8). Curieusement, son corps n’avait pas brûlé ce qui a permis au Docteur Zéro de l’autopsier. Il en a conclu que les Sylvidres n’ont pas de squelette et que leur tissu est végétal. Elles ont bien un système sanguin, mais n’ont pas de sang rouge comme le notre, à la place c’est une sève similaire à celle de certaines plantes chlorophylliennes. La catégorie végétale à laquelle elles appartiennent est celle que l’on trouve sur toute la planète dans les zones humide comme l’Amazonie. Etrangement les endroits où sont ces pantes sont les mêmes que ceux des plus anciennes civilisations.

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Le vaisseau Sylvide vient de la planète Vénus

Albator 78 – Episode 10 : La planète de l’amour – Résumé

Dans l’épisode précédent, Albator a réalisé que les sylvidres sont en réalité déjà sur terre, dissimulées dans les troncs des arbres des forêts tropicales sur tous les continents. Ramis ne supporte pas l’idée que la terre soit déjà infestée par les sylvidres. Perdant son sang froid, il bombarde la forêt amazonienne. Albator est obligé de lui coller une baffe pour qu’il retrouve ses esprits. Albator a conscience que les sylvidres sont supérieures en nombre et en technologie. Ramis comprend alors que chercher à les éliminer une par une ne peut que conduire à la défaite, il faut donc s’en prendre directement à la Reine Sylvidra pour avoir une chance de les vaincre.

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La sylvidre Erossa prend l'apparence de la mère de Ramis

Albator 78 – Episode 11 : Les Naufrageuses d’âmes – Résumé

Alors que l’Atlantis arrive dans l’orbite de Vénus pour chercher la base sylvidre, il détecte sur le radar l’épave d’un vaisseau sylvidre. L'équipage voit encastré dans la carlingue l’énorme météorite qui l'a percuté. Albator décide d’envoyer Alfred et Ramis explorer l’épave. Mais à l’intérieur tout n’est que désolation, les machines sont toutes inutilisables et les cadavres jonchent le sol.

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Ramis est prisonnier d'une illusion créée par Erossa

Albator 78 – Episode 12 : Le complexe d’Oedipe – Résumé

Ramis vit très mal son échec face à Erossa, qui a pris l’apparence de sa mère pour lui soutirer des informations sur l’Atlantis et s’évader (épisode 11). Il passe tout son temps dans le simulateur de combat pour améliorer ses réflexes et éviter d’avoir la moindre hésitation au moment de tirer comme lorsque Erossa a abattu son vaisseau (épisode 10).

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Le Yamato, un cuirassé de la Seconde Guerre Mondiale, sort de l'eau

Albator 78 – Episode 13 : Une micro poussière de temps – Résumé

Nausica découvre dans la fosse marine de la Romanche une troisième distorsion magnétique similaire à celle de la pyramide engloutie (épisode 7) et de la sphère noire (épisode 4). Alfred prétend que cet emplacement était autrefois appelé le Cimetière Marin car les navires qui s’aventuraient dans ces eaux disparaissaient inexplicablement et réapparaissaient parfois sous forme de vaisseau fantôme.

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Le canon sylvidre était camouflé dans le shynx

Albator 78 – Episode 14 : Le piège des sables – Résumé

Vilak a enlevé Stellie et donne rendez-vous à Albator en Egypte au Caire. Arrivé là bas, Albator doit laisser l’Atlantis à l’aéroport et continuer son chemin seul jusqu’à Kourouna, un petit village situé près des ruines de l’ancienne Thèbes où un égyptien répondant au nom de Kareb lui remettra un chameau et des instructions pour rejoindre Vilak.

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Albator est emprisonné dans un cercueil de galce

Albator 78 – Episode 15 : L’amour défendu – Résumé

Nausica a fini par localiser un groupe de vaisseaux à six millions d’années lumière de la Terre. Cette flotte pourrait être l’armada de la Reine Sylvidra. Mais elle ne peut avoir plus d’informations car une aurore boréale au niveau des pôles perturbe les instruments de l’AtlantisNausica est étonnée car elles sont liées aux éruptions solaires, or ce n’est pas le cas ici. Albator décide d’aller voir cela de plus près en se posant sur ce continent gelé.

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Roger était l'amant de Nausica

Albator 78 – Episode 16 : L’îlot sacré – Résumé

Alors que Nausica est allée se recueillir devant la tombe de ses parents, elle retrouve Roger un ami d’enfance. Ce dernier a conservé intacte la maison familiale de Nausica après la mort de ses parents. A présent il y habite avec la jeune Sylvie, sa petite sœur handicapée en fauteuil roulant. Nausica ne la connaissait pas car elle n’habite que depuis peu avec son frère. Si Roger a décidé d’habiter ici, c’est pour accéder au laboratoire du père de Nausica et poursuivre ses recherches sur le développement d’un satellite artificiel appelé l’îlot sacré.

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Tornadéo est mort en tenant la barre et son cadavre continu à la tenir même dans la mort

Albator 78 – Episode 17 : Quand la mort tient la barre – Résumé

Stellie passe ses grandes vacances à bord de l’Atlantis où elle fait la rencontre de Marysse le chef mécanicien qui se prend d’affection pour elle et joue régulièrement avec elle durant la durée de son séjour. Mais une fois qu’elle est repartie, le pauvre Marysse est complètement abattu. En réalité, si Marysse déprime autant, c’est parce que Stellie lui rappelait sa propre fille que les sylvidres ont enlevée.

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Madeleine tient un bébé sylvidre qui vient de sortir de l'incubateur

Albator 78 – Episode 18 : L’ombre du souvenir – Résumé

Des sylvidres apparaissent  dans l’Atlantis, mais il ne s’agit que d’hologrammes visant à perturber l’équipage. Contre toute attente, l’une des sylvidres semble être Madeleine, la fille de Marysse et de son épouse Sylvia qui était en réalité une sylvidre. Après la mort de sa mère, Madeleine avait été enlevée par les sylvidres alors qu’elle était encore enfant (épisode 17). Elle est devenue adulte, mais la clochette qu’elle porte autour du cou est la même que celle de Madeleine. Pour Marysse le choc est dur, car à peine croit-il avoir retrouvé sa fille que les hologrammes disparaissent.

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L’îlot de l’Ombre Morte est une base secrète. (Albator 78 - épisode 19)

Albator 78 – Episode 19 : Le traquenard de la Reine – Résumé

La Reine Sylvidra essaie de recenser les membres d’équipage de l’Atlantis, mais elle n’arrive pas à savoir qui est le 41ème homme d’équipage. Elle utilise donc un encéphalométreur qui permet de comptabiliser les êtres « pensant » et de relever leur pensée du moment.
La sylvidre Halium va écouter les pensée de chaque membre, sans arriver à avoir celui du 41ème car ce dernier semblait plongé dans un sommeil profond au moment où l’encéphalométreur a fait son relevé.

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L'Atlantis est prisonier des racine géantes (Albator 78 - Episode 20)

Albator 78 – Episode 20 : La planète des fleurs sauvages – Résumé

Clio repense à sa planète d’origine Jura où à sa meilleure amie Feria est morte lorsque son peuple a été décimé. Une guerre nucléaire avait éclaté et les radiations ont fait muter les plantes qui sont devenues carnivores et qui ont dévoré les survivants. Si Albator n’avait pas trouvé Clio à ce moment là, elle serait probablement morte elle aussi.

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Torus fut enrôlé de force par les sylvidres

Albator 78 – Episode 21 : Le testament – Résumé

Alors que l’Atlantis traverse un champ d’astéroïdes, les sylvidres font exploser les charges qu’elles avaient mises dans certains d’entre eux. L’impact des débris sur la carlingue endommage le vaisseau mais les dégâts sont mineurs. Albator sait parfaitement que les sylvidres avaient conscience que cette attaque ne serait pas suffisante pour détruire l’Atlantis, il redoute un second assaut destiné à les achever.

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Galerie

12 réponses à Albator 78 (Albator le Corsaire de l’Espace)

  1. DD Funky dit :

    Quand j’ai acheté le coffret dvd de la série, la version collector avec les bonus, en 2002, j’ai redécouvert la série avec grand plaisir et surtout j’ai découvert d’autres aspects du récit que vous exposez très bien dans votre article.
    Quand j’ai vu la série la première fois en 1980 j’avais 6 ans, j’avais une vision très manichéenne encouragée par le doublage français qui allait dans ce sens.
    Aujourd’hui je saisi mieux le contexte politico-social qui fait toute la trame de cette série.
    Il n’y a pas d’un coté les bons et de l’autre les méchants, mais comme dans toute société des nuances…vous l’exposez mieux que moi.
    Coté animation certains épisodes bénéficient d’un meilleur dessin, plus détaillé, et d’une animation plus fluide, comme l’épisode 13 « une micro-poussière de temps », mon préféré, avec une scène d’attaque de l’Atlantis par des chasseurs terriens emmenés par Vilak plutôt bien réalisée si on tient compte des petits moyens alloués pour la série. Et le cuirassé fantôme est bien détaillée, il y a aussi la scène ou l’Atlantis plonge vers la terre au début: superbe! A regarder aussi en V.O si vous avez comme moi le dernier coffret avec la série remasterisée et la version japonaise aux belles musiques sombres.
    J’ai découvert il y a peu que les sylvidres sont populaires chez de nombreux fans, je me souviens que nous nous amusions à l’école primaire à rejouer Albator dans la cour de récré, la plupart de mes copines de classes interprétaient des roles de sylvidres, elles nous faisaient prisonniers, etc…Ces femmes humanoïdes qui me faisaient peur quand j’avais 6 ans me fascinent aujourd’hui, j’ai compris leur motivation dans l’histoire, et notamment le fait qu’elles en veuillent aux homme d’avoir salis la planète qu’elles leur ont légué. D’ailleurs que se passe-t’il actuellement?
    J’ai aussi vu les bd du site de Sylvidra undercover, bravo à la dessinatrice si elle me lit ici sur ce site. Et étant moi meme dessinateur autodidacte, ou du moins l’ayant été plus jeune, j’ai décidé de m’y remettre et commencer à rassembler mon matériel de dessin que j’ai en partie conservé. Merci pour votre article bien rédigé et pour moi très juste.

  2. DD Funky dit :

    Autres épisodes mieux réalisés, le 3, celui ou le père de ramis se fait descendre par une sylidre infiltrée sur Terre, avec la fameuse scène découpée et au ralentis, et l’épisode 7 le tombeau engloutis, j’aime beaucoup le fait qu’Albator respecte la sépulture de la sylvidre dans son cerceuil de verre, et la séquence explosive ou Vilak fait détruire par ses tanks le gymnase – un batiment en forme d’ovni- ou se trouvent Albator et Stellie. A bientot, salut à tous les fans d’Albator le Corsaire de l’espace.

  3. dariastr dit :

    J’ai revu il y a à peine un mois cette série dont j’avais quasiment tout oublié : bien que profondément attachée à ce bout d’enfance, je n’avais jamais déballé les DVD que j’avais achetés sur un coup de tête il y a plusieurs années…
    D’accord, j’avais quand même un vague souvenir de l’allure d’Albator : je me souviens que je trouvais son costume sont trop cool notamment parce qu’en + de la cape qui en jette, j’ai toujours vu son pantalon (+ gris clair plus que blanc) comme un jean, symbole de modernité s’il en est pour une môme des années 80.
    A part ça, il me restait le nom du vaisseau, de quelques personnages, le terme évocateur des Sylvidres, mais pour le reste (l’intrigue, la musique -hormis le générique bien sûr- et l’ambiance générale), tout était tombé dans les oubliettes du temps…
    Et bien j’ai franchement apprécié cette redécouverte !
    Certes, c’est lent, trèèèèès lent !!
    Mais justement ça change du rythme effréné des productions télévisées ou ciné qui nous inondent de personnages qui ne prennent quasiment plus le temps de réfléchir, examiner la situation, ou juste être perdus dans leurs pensées. Ici on redécouvre le plaisir de la non action (jusquà un certain point : j’avoue qu’il m’est quand même arrivé parfois d’espérer qu’ils passent enfin la seconde et j’en connais un qui a régulièrement piqué un roupillon devant la télé… !)
    Après, j’ai été étonnée du nombre de fois où on le voit siffler son verre de rouge ou jouer de l’ocarina entre deux batailles (sans parler du Dr Zéro bourré du matin au soir ou de Clio qui ne s’alimente que de vin). Clairement entre la loi Evin et le CSA, la série n’aurait plus le droit aujourd’hui d’être diffusée dans le cadre des émissions jeunesse !
    Mais je retiens surtout l’esprit humaniste qui inonde la série, et ça fait du bien à une époque où le cynisme et l’individualisme se répandent comme des épidémies.
    Je serais presque inquiète de réaliser à quel point la vision de ce monde futuriste, constitué de masses oisives abruties de jeux et d’écrans ressemble au nôtre maintenant : la réalité rejoint douloureusement la fiction.
    Mais là où Endless Odyssey (qui n’est peut-être que le reflet de son époque, désabusée) était d’un pessimisme un poil déprimant, on sent ici que l’optimisme, l’espoir d’un avenir meilleur étaient encore permis.
    Et même si c’est un ajout de la série par rapport au manga, la relation entre Albator et Stellie (malgré quelques aspects c’est vrai un peu gnangnan) rappelle le message sous-jacent qu’il se bat pour sauver la Terre et surtout les enfants qu’il croit être la promesse d’une chance pour la planète de sortir de sa torpeur.
    N’oublions pas que tout ceci vient d’un type qui a connu enfant une guerre mondiale, dont le pays a subi l’horreur de deux bombes nucléaires, et qui prône des valeurs universelles comme l’amitié, la loyauté, la protection des plus faibles et… si on veut la jouer un peu chauvin, peut-être que si la France a tellement apprécié Albator, c’est parce qu’il représente si bien quelque chose comme « Liberté, Egalité, Fraternité » ! (je sais, c’est un peu capillotracté mais pas que… !)
    Pour finir, on peut dire que les filles de ma génération l’ont échappé belle : avec une image masculine pareille on est pas passées loin de faire une fixette sur les borgnes balafrés sexy ! Aux dernières nouvelles ça court pas les rues…
    D’ailleurs, rien que pour ça, bravo aux designers du film de 2013 qui ont réussi à donner à une image de synthèse photoréaliste un visage aussi bluffant à partir d’un concept complètement casse-gueule ! (et si c’est vrai cette histoire de film live, bon courage au directeur de casting pour être à la hauteur…)

  4. DD Funky dit :

    Borgnes balafrés sexy? Coté mecs, mes potes et moi c’etait Emeraldas dans albator 84,c’était mon héroine préférée. Elle collait des roustes au illumidas, j’adorais ça.
    Oui, Matsumto croit à la relève et un avenir meilleur venant des jeunes générations.
    Ce qui n’apparaît plus dans Endless Odyssey, ou on dirait qu’il n’en a rien à secouer du sort de la Terre.
    C’est vrai que cette série détonne par rapport à celles d’aujourd’hui ou tout est trop rapide, avec je trouve une fascination parfois malsaine pour « le coté obscur de la Force », ou tous les protagonistes sont des névrosés paumés.
    Dans cette série la réflexion précède l’action, d’un coté comme de l’autre. Pas de victoire sans stratégie mûrement réfléchie.
    Et c’est aussi à l’époque une critique acerbe des travers de l’espèce humaine et de ses élites, de sa corruption et sa paresse, son égotisme. Une manière de nous dire à quel point la société consumériste rends idiot, incapable de réagir face aux événements.
    Pour le film live, hum, sans être mauvais esprit je crains le bide, un space opéra coute très cher à mettre en oeuvre sous la forme d’un film véritable.
    Si les producteurs s’adressent à Hollywood, ils devront forcément faire des concessions afin de faire un film d’abord destiné au marché américain, donc très manichéen, ce qui risque de dénaturer l’oeuvre de Matsumoto et son message originel.
    Pour revenir aux bombes Hiroshima et Nagasaki, j’ai appris d’un documentaire récent que les japonais faisaient aussi des recherches pour produire de l ‘eau lourde en partenariat avec le régime nazi, ce qui a peut-être aussi précipité la décision des américains… Les choses sont souvent beaucoup moins simples qu’on le croit, c’est d’ailleurs ce que nous enseigne les histoires de Leiji Matsumoto, parce que je pense qu’elles sont basées sur du vécu authentique. D’ailleurs le mangaka en a bien bavé avant d’en arriver là ou il est…

    • Dariastr dit :

      Si vous demandez aux filles de ma génération, clair qu’il ne nous pas laissées insensibles l’homme à la cicatrice ! Mais je me doute qu’un profil genre « j’ai une balafre qui me mange la moitié du visage et un oeil en moins » ait beaucoup d’adeptes en dehors de adopteunpirate.com !
      Je ne me souviens pas avoir vu la série de 84 à l’époque mais peut-être que je me serais identifiée à Emeraldas, cette nana qui parcourt le monde, commande son propre vaisseau et dégomme à l’épée ceux qui entravent son chemin. Les débuts du girl power !

      A ce sujet, il semblerait qu’une trilogie d’animation classique soit en projet au japon. 1ère sortie prévue en 2020 avec un film centré sur elle puis Albator en 2023 et Maëtel en 2026. A suivre…

      Pour ce qui est de la référence aux jeunes générations, finalement elle n’y est pas dans le manga de départ. J’ai été assez surprise par certains aspects en le lisant mais finalement Endless Odyssey reviendrait presque à la source : d’un tome à l’autre Albator nous tient un discours très distancié sur sa « vocation » : d’abord il évoque avoir eu envie de faire péter la Terre et ses corniauds d’occupants, puis de se supprimer et qu’enfin s’il protège la planète c’est plus par devoir que conviction personnelle puisque c’est pour respecter le voeu et la pensée de Toshirô qui était peut-être le dernier à croire en une possibilité d’amélioration de ses congénères.
      En gros il en avait déjà plus grand chose à batte en effet de la petite planète bleue.

      La manifestation louche pour le côté obscur en général atteint des sommets avec le retour de Star Wars : pas moyen de trouver quelque chose qui représente la rébellion! Quasiment tous les produits dérivés nous montrent des stormtrooper, Vador ou Kylo Ren. La dernière fois que je suis tombée sur un X-wing ou les robots, c’était il y a 2 ans (quand j’ai envoyé bouler la vendeuse d’un magasin de fringues pour enfants qui m’informait que je ne trouverais rien d’intéressant pour ma fille dans ce rayon puisque j’étais chez le garçons! en 2015 on en était encore là…)

      Pour ce qui est du film live, apparemment c’est mort : il semblerait que l’appel de fond via le crowdfunding a été un échec retentissant et l’équipe annoncée (réal, scénariste et designer) s’est retirée. Déjà fallait savoir qu’il y en avait un ! J’ai lu dans un vieux magazine déniché récemment qu’il y avait déjà eu une tentative française menée par Jean-Pierre DIONNET et qui aurait du être réalisée par Olivier DAHAN mais là je sais pas ce qui a fait capoter l’affaire. En même temps, que devient le Cobra d’Alexandre AJA ? Il a tout d’une arlésienne celui-là aussi.

      • DD Funky dit :

        Oui le coté je m’en de la terre d’Harlock c’est déjà vrai dans la série de 1978, quand Stellie est enlevée par les sylvidres pour éloigner l’Arcadia de la terre, Albator part dans l’espace à la recherche de la fillette. Pendant ce temps l’avant garde des Sylvidres approche de la Terre, l’équipage supplie le capitaine de changer de cap pour contrer l’avant garde, mais Albator rétorque à ces hommes « Sans Stellie (Mayu), la Terre n’a pas la meme valeur.  »
        Le fait qu’il s’oppose aux Sylvidres ne tient qu’à la promesse qu’il a fait à tochiro d’élever Stellie sur terre.
        Dans Endless Odyssey, on a clairement l’impression au début qu’il s’en cogne de la planète bleue, sa maison c’est l’espace avant tout…
        Pour la tentative d’Olivier Dahan et J.P Dionnet j’avais lu une interview dans Anime Land je crois en 2002 ou 2003 je ne sais plus, il était question pour Dahan de s’y coller après la réalisation des Rivières pourpres 2, et je crois que le projet est tombé à l’eau pour des raisons de coup. Un soap Opéra coute extrèmement cher à réaliser (georges lucas en sait quelque chose) et de plus cette culture du cinéma de SF n’existe pas ou peu en France, ou la plupart des films français sont des films de problemes sociétaux tournant autour de l’adultère, ou alors des comédies. Difficile d’obtenir des fonds pour un tel projet considéré dans les milieux branchouilles intellos français comme une japoniaiserie avant tout….(En France il y a tellement de gens qui critiquent tout mais qui ne connaissent rien…).
        Pour réaliser Albator en film live il faut je pense la puissance d’Hollywood, ce qui aurait impliqué pour Dionnet et Dahan des concessions sur le scénario et les personnages, je me rappelle que dans l’interview Olivier Dahan mentionnait ces faits, craignant par exemple qu’Emeraldas ne soit transformée en bimbo karatéka, avec des sylvidres que bètement méchantes sans les nuances subtiles de la série animée et du manga, et le reste à l’avenant pour plaire au public ‘ricain. Bref un « truc » manichéen et gonflé aux stéroides, loin de l’oeuvre de matsumoto. Décevant, comme le film de 2013, désolé pour les fans de ce films d’animation mais perso il ne m’a pas séduit méme si l’animation est hautement maitrisée, la technique ne fait pas tout.
        Vous avez bien fait d’envoyer bouler la vendeuse dans le magasin, malheureusement beaucoup de personnes aujourd’hui sont encore formatée dans leur tétes par des siècles d’éducation sexiste (perso je suis un mec et je déteste le sexisme).

    • dariastr dit :

      Juste pour le fun (et comment n’y ai-je pensé plus tôt ?) Il y a UN exemple de borgne sexy dans le « vrai » monde : Snake Plissken ! ok il n’est pas balafré, personne n’est parfait… Honnêtement les films ont quand même un peu vieilli, et le deuxième n’était pas franchement un chef d’œuvre mais sa fin nihiliste et délicieusement anar le rachète amplement. ILaginons un instant un crioss over avec notre capitaine de l’espace : ils auraient fait un beau duo de fouteurs de m… !

  5. Dariastr dit :

    Que ce soit ds Endless odyssey ou le manga d’origine c’est pas qu’au début qu’il s’en bat l’œuf de la planète bleue tellement ses habitants l’ont déçu, et c’est vrai que ça tranche avec le héros des enfants qu’on ns a vendus ici à l’époque. c’est pour ça que j’attends de voir comment va tourner dimension voyage : est-ce qu’on va rester ds cette ambiance désabusée mais loyale ? Mais je commence à avoir quelques craintes devant le gloubi goulga que c’est en train de devenir… (les tomes étant d’un intérêt inégal, pas facile de se faire une idée d’ensemble)
    Rien que pour ça j’aurais aimé avoir une suite à Gun Frontier (le bouquin, pas l’anime) pour voir comment aurait réagi Harlock sur la durée une fois privé de la compagnie de Tochirô
    Au fait, whaaa le lapsus de la mort : « un SOAP opera coute extrèmement cher à réaliser ». Pauvre Harlock, on t’aura fait subir tous les outrages :-D
    Blague à part, si Hollywood s’en mêlait effectivement on aurait droit à une espèce de soupe moralisatrice avec les bons gentils contre les méchants vilains et plus aucune nuance entre les deux. Peut-être même qu’ils arriveraient à nous coller Tom Cruise ds le rôle titre !
    Et probablement des bombasses surpoumonées et hypocérébrées en guise de faire-valoir. Ou alors avec la veine hystéro féminisante récente, ils seraient capables de nous transformer Albator en nana (déjà qu’ils ont émasculé mon vicking préféré ds les comics de Thor…).
    Oubliant là qu’il existe déjà un équivalent féminin : notre bonne vieille Emeraldas (que pourquoi elle est blonde et plus rousse comme avant ? hein, pourquoi ?). Et que si elle pouvait défoncer n’importe quel malotru à la pointe de son sabre, elle était hautement séduisante sans avoir besoin de se balader le cul à l’air pour rappeler sa féminité ! voilà un modèle pour fillettes qui aurait du être mis en avant : le féminisme c’était au départ lutter contre l’oppression des femmes par les hommes mais pas pour au final tomber ds l’excès inverse !
    D’ailleurs Harlock et Emeraldas se respectent et se considèrent comme égaux, elle n’attend pas d’être sauvée et il ne la prend pas pour une petite chose fragile qu’il faut protéger.
    Plusieurs articles ont essayé de nous vendre un pseudo triangle amoureux, genre il avait aussi des vues sur elle et se serait effacé pour laisser sa chance à son pote petit et moche. Ce qui est juste super désobligeant pour les sentiments d’Emeraldas, genre si elle avait eu le choix elle aurait pris le beau gosse (bon, une femme ordinaire peut-être, on va pas se mentir !) mais elle su voir au-delà de l’apparence de notre génie court sur pattes et sur ce plan là Albator, malgré toutes ses qualités, face à Tochirô il faisait pas le poids

    Oh la vache j’ai failli faire une attaque : j’ai cliqué sur « envoyer » alors que j’avais pas rempli le captcha et tout mon texte s’est barré ds la matrice… merci au retour page arrière qui m’a rendu mon précieux (m’apprendra tiens à taper en direct !)

    • DD Funky dit :

      Oui il vaut mieux que harlock reste dans le leijiverse, le « Hollyverse » ça risque fort de le dénaturer. Tom Cruise pour le role si harlock était par hasard adapté aux states? Il est pas un peu agé pour ce rôle?

  6. Dariastr dit :

    Tom cruise c’était pour le fun vu qu’ils le mettent à ttes les sauces…
    Et oui, sur ses derniers films il a clairement passé l’âge de jouer les jeunes premiers sauveurs du monde, mais il semble avoir du mal à raccrocher les gants pépère !
    Tout ça pour dire que si Hollywood s’en mêlait ça jouerait la cash machine à fond sans aucune motivation artistique

    • Dariastr dit :

      je blaguais à moitié sauf que la réalité est un poil flippante : il avait qd même déjà 52 ans qd il a joué ds « the edge of tomorrow », adaptation d’un light novel (lui-même adapté en manga en 2 tomes).
      Ok il portait encore bien sa cinquantaine au point q’on peut se demander si c’est l’oeuvre d’une excellent chirurgien ou si on a là un Dorian Gray des temps modernes…

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