Albator 78 – Episode 01 : Le pavillon noir – Résumé

Albator 78 - Episode 1 : Le pavillon noir

Nous sommes en 2980 (2977 dans la VO), la Terre a été tellement sur exploité qu’elle n’a plus aucune ressource à offrir l’être humain. Maintenant pour survivre, l’homme doit exploiter les ressources d’autres planètes renommées pour l’occasion « Surabonde ».
De nombreux cargos spatiaux parcourent l’espace pour apporter à la Terre ce dont elle a besoin. Mais certains vaisseaux se font attaquer par l’Atlantis, le vaisseau du Capitaine Albator. Ses motivations sont floues, il ne prend que les semences et jette le reste par-dessus bord.

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Un cargo Terrien revenant des planètes SurabondeL'équipage est inquiet à la vue de l'Atlantis

Au début de l’épisode un cargo rempli de militaires tente de piéger Albator en faisant d’abord mine de se rendre puis en l’attaquant en traître. Mais la ruse échoue et l’équipage du cargo se retrouve gelé.

Le piège à échoué et ils se sont fait congelésAlbator n'emporte que les vivres et jette le reste par dessus bord

Attention la suite révèle des moments clés de l’intrigue

En réalité Albator (Harlock dans la VO) voudrait réveiller ses compatriotes terriens. N’ayant pus besoin de travailler pour vivre l’homme à un comportement se rapprochant de plus en plus du bétail.  Albator attaque les cargos pour récupérer des semences en prévision du jour où les terriens se réveilleront et se décideront à cultiver eux-mêmes le sol de leur planète pour vivre. Si Albator se préoccupe encore du sort de sa planète natale, c’est parce que Stellie (Mayu dans la VO), sa filleule, habite sur Terre.

Stellie est la filleule d'AlbatorStellie habite sur Terre dans un orphelina

Stellie est la fille d’Emeraldas et de Toshirô, deux amis proches d’Albator. A leur mort, il leurs a promis que Stellie serait élevée sur Terre et c’est pour cette raison qu’il veille aussi bien sur Stellie que sur la planète ou elle habite. Ne pouvant la prendre avec lui dans l’Atlantis, il l’a confié à un orphelinat.

Albator sculpte un ocarina pour l'offrir à Stellie pour ses 7 ansAlbator vient toujours voir Stellie pour son anniversaire

Comme c’est l’anniversaire de Stellie, Albator va lui rendre visite pour lui offrir pour ses 7 ans un ocarina qu’il a taillé de ses propres mains. Mais lui rendre visite sur Terre n’est pas une mince affaire. Vilak, le Ministre de la Défense, a juré de mettre Albator aux arrêts. Il faut dire qu’en plus des attaques de cargos, Albator est aussi accusé d’avoir tué de nombreux savants et astronomes.

Vilak est informé de l'attaque du cargo par AlbatorLe docteur Valente est le Père de Ramis. Il ne croit pas qu'Albator ait tué les astronomes.

Pourtant un éminent astronome, le Docteur Valente (Tsuyoshi Daiba dans la VO) explique à son fils Ramis (Tadashi Daiba dans la VO) qu’il est convaincu de l’innocence d’Albator. Il pense que si des scientifiques ont été tués, c’est pour les empêcher de découvrir qu’une énorme boule se dirige vers la terre. Même l’Atlantis et ses radars n’arrivent pas à identifier la nature exacte de cette sphère. Albator pense qu’il s’agit d’une menace extraterrestre, et il n’est pas le seul. Quelques astronomes arrivent à la même conclusion, mais ne parviennent pas à se faire entendre du gouvernement qui est plus préoccupé par le résultat du tiercé que par le sort de la planète.

La visite de Stellie se passe très bien, l’ocarina que lui offre Albator lui fait très plaisir, malheureusement la fête est écourtée par l’arrivée de plusieurs tanks de l’armée.
Albator est arrêté puis est emmené immédiatement dans un stade pour une exécution publique sans aucun procès.

Albator est arrêté par l'armée TerrienneSans aucun procès Albator est conduit sur la place publique pour être exécuté

Vilak n’aura pas le temps de savourer longtemps sa victoire, car avant que l’exécution puisse avoir lieu, l’Atlantis débarque et en quelques coups de canon bien placés, il fait fuir les soldats de l’armée (dont la couardise est sans borne). Seul Vilak a le courage de rester, mais il ne peut que se contenter de voir Albator s’enfuir sous son nez à bord de l’Atlantis.

L'atlantis intervient pour libérer AlbatorLes militaires Terriens sont lâche et fuient sans se battre. Seul Vilak reste

Albator est sauvé mais il reste tout de même inquiet pour la terre car il n’arrive toujours pas à identifier la nature de la sphère qui fonce sur la Terre.

Alabtor s'enfuit à bord de l'Atlantis sans que Vilak ne puisse l'en empêcherLa sphère noire continue de s'approcher de la terre sans qu'on puisse identifier sa nature.

 

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5 réponses à Albator 78 – Episode 01 : Le pavillon noir – Résumé

  1. DD Funky dit :

    Bonne entrée en matière, l’attaque de l’Atlantis en plein milieu des grattes-ciel est une scène forte de cette épisode. A l’époque de toute façon Albator était une série d’animation sans concurrence à la tv, meilleure que Goldorak, quand j’ai regardé la première fois cet épisode j’avais été saisi par l’ambiance sombre et désanchantée de cet épisode. Aujourd’hui je le revois toujours avec plaisir.

  2. Dariastr dit :

    Nous autres français sommes décidément formidables…
    Sans dec’, qui d’autre serait assez mauvais en traduction ET en calcul pour commettre cette magnifique boulette dans la biographie de Stellie ?
    La VF décide donc que nous sommes en 2980. Soit. Mais comment expliquer que la petite fille qui se recueille sur ta tombe de son père, mort en 2970 ait 7 ans comme lui rappelle Albator lui-même ?
    A moins qu’Emeraldas ait opté pour la méthode Céline Dion (à savoir congeler les gamettes de son cher et tendre pour plus tard) y’a comme une c…
    Dans le genre Albator 84 nous en fait une belle aussi dès le début (mais faudrait que je voie l’épisode en VO pour savoir si c’et nous les tocards ou si c’était d’origine !)

    • Dariastr dit :

      J’ai percuté ça après coup : y’a un autre truc qui colle pas dans cette histoire!
      D’après le flash-back qui montrera la rencontre entre Albator et Toshirô (bizarrement titré « mon ami d’enfance » alors qu’ils sont clairement adultes à ce moment là, mais bon, on est plus à une approximation près…), puis la vie de famille avec Emeraldas, la petite n’est déjà plus un nourrisson quand son père passe l’arme à gauche. Au vu de ce qui nous est montré, elle doit bien avoir une bonne petite année d’existence.
      Donc même si on se situe en 2977, elle aurait plus dans les 8 ans.
      Et peut-être que la phrase d’Albator en VO est « ça fait maintenant 7 ans » et pas « tu es grande maintenant, tu as 7 ans » (Je sais ce qu’il me reste à faire pour le savoir ;-)
      D’ailleurs, s’il semble logique qu’on ne puisse pas lui dire que l’esprit de son père vit toujours dans une machine, que lui a-t-on dit au sujet de sa mère qui n’est jamais évoquée hormis dans ce dyptique ?
      Je veux bien qu’Emeraldas soit une aventurière, une dure à cuire mais, même éperdument amoureuse, quelle mère abandonnerait son enfant pour accompagner un cercueil…

      • DD Funky dit :

        Les japonais n’ont sans doute pas la meme approche que nous quand ils racontent une histoire.
        Parfois certaines choses nous échappent, comme une histoire d’amour impossible, typique du romantisme à la japonaise, entre un nain hideux et une magnifique créature aux cheveux très longs.
        Je n’ai pas revu cet épisode en v;o, c’est vrai que les français avec l’ensemble de la série, ont quand meme réinterprété certains dialogues plus qu’ils ne les ont traduit.
        Mais loin de moi l’idée de leur jeter la pierre, leur travail a permis de nous initier au Leijiverse. Mais je comprends que les approximations et arrangements puissent énerver, des fois je tique quand revois des épisodes en dvd (je préfère d’ailleurs la v.o.s;t.f)

  3. Dariastr dit :

    Idylle d’autant plus sincère qu’on ne peut pas la soupçonner d’avoir été charmée par son argent !
    (n’oublions pas qu’il s’agit potentiellement d’une projection de Matsumoto qui ne semblait pas avoir une haute opinion de son physique puisqu’il décrit ds une itw le héros de otoko oidon comme étant un double de lui-même : petit moche au pied de ravissantes créatures, et que ds la vraie vie c’est son pote qui était le beau gosse aimant à minettes !)
    Blague à part, après avoir lu, vu et écouté diverses productions depuis ma plongée la tête la première dans l’univers manga/japanime, force est de constater le contraste saisissant entre le comportement extrêmement policé, tout en retenue (limite réprimé) des Japonais et les envolées romantiques de certaines œuvres où les sentiments (amoureux ou non) sont dépeints avec sensibilité et délicatesse.
    Et je dis ça sans une once d’ironie : certaines histoires (ou mêmes paroles de chansons) sont juste belles à pleurer et il faudrait avoir un cœur de pierre pour y être insensible.
    Je parle pas de mièvreries cucul mais des pépites qui vous font voir le monde sous un autre jour (j’ai découvert « your name » récemment et entre l’histoire et les textes des Radwimps, m’en suis pas encore remise :-)

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